La Lozère ça vous perd !

En avril 2021, j’ai débarqué dans une des régions les moins peuplées de France pour un stage au Parc national des Cévennes. Après 21 ans à Paris, 5 ans à Lyon et sans permis de conduire, l’adaptation allait-elle être possible ?

Un peu de contexte : la Lozère c’est 75 000 habitant·es et la plus faible densité des départements métropolitains. Malgré les railleries un tantinet snob des habitué·es des Alpes, c’est aussi un des départements les plus montagneux ! Si ses sommets restent bas par rapport à ceux des Alpes et des Pyrénées, l’altitude moyenne habitée y est la plus haute de France.

Plusieurs régions naturelles apportent une diversité extraordinaire de paysages :

  • au Nord-Ouest, le plateau de l’Aubrac, partagé avec l’Aveyron, terre d’élevage des célèbres vaches éponymes ;
  • Au Nord-Est, le plateau de la Margeride, territoire de chasse de la fameuse Bête du Gévaudan ;
  • Au Sud-Est, les vallées schisteuses des Cévennes, aux rivières gonflées par des pluies intenses ;
  • Au Sud-Ouest, les causses, hauts plateaux calcaires au climat rude et entourés par les profondes gorges du Tarn et de la Jonte.
  • Et bien sûr, engoncés au milieu de tout cela : le Mont Lozère, point culminant du département, et le Mont Aigoual et sa météo notoirement exécrable.

Et comme d’habitude avec les coins que j’adore…j’en ai fait une carte ! Le principe est le même que pour mes cartes de Lyon et Berlin : j’y ai recensé ce que j’aime faire en Lozère, les jolis panoramas, les bons restaus, les endroits insolites, quelques anecdotes historiques, etc.

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